I. LE PERSONNAGE.

II. LES DESCRIPTIONS.

La demoiselle n’aime pas les disputes, ni les gens malhonnête, elle n’hésitera pas un instant à dire ce qui lui passe par la tête. Ses parents lui ont donné une éducation basée sur la vérité, même si parfois un mensonge peut être dit, elle le fait toujours dans le bien de l’autre. Elle a beaucoup de remord lorsqu’elle le fait, d’ailleurs il est simple de le deviné, elle détourne le regard. Croisant alors les bras comme pour ce protégé de ce qu’elle peut raconter. Le reste du temps elle est songeuse, la tête bien dans les nuages. Parfois simplette elle est curieuse de tout, elle aime savoir comment les choses marchent. Le monde des humains reste pour elle un grand mystère.

 Ce qu’elle aime par-dessus tout c’est ce baladé dans la forêt, les pieds libéré de ses choses que l’on nomme chaussures. Monter aux arbres, lire sagement et sentir le vent soulever avec légèreté ses cheveux. Passant son temps dans le jardins, ou bien en train d’aider les voisins pour se sentir utile, Céles aime rendre service.

De caractère un peu naïve, elle n’hésitera pas à croire en la personne, d’ailleurs, elle est si gentille qu’elle croit qu’en chaque être vivant, il y a du bon. La demoiselle aide souvent les hybrides qui sont victime de violence, les soignants à son niveau. Elle aime collectionner les choses petites et mignonne, aime dormir sous une couette bien chaude, ne supporte pas le froid. Attention tout de même. La petite boule de coton qu’elle est, n’aime pas être contrariée. Elle peut se montrer insistante, hautaine, boudeuse, et peut parfois frapper lorsque ses émotions sont trop forte à supporter. Elle sait tout de même ce battre, et malgré son poids plume, ses frappes sont douloureuse. A bon entendeur…

Un être d’une couleur comparable à la neige un jour de grand froid. Céles a une peau pâle, comme vous aurez pu le devinez, on peut alors la remarquer, ainsi, de loin. Grâce à la pâleur de sa peau,  on remarque alors facilement ses yeux bleus océan. Une couleur qu’elle tient de sa maman. Elle en est très fière. Si vous restez trop longtemps à les fixer, vous pourriez sans doute remarquer que dans celui de droite, une petite tache verte en forme de cœur y a élu domicile. C’est une tâche de naissance, celle qu’elle tient de son père. Pour en rester au niveau du visage, celui-ci est fin, à l’allure très féminine, une grâce naturelle en ressort. Ses cheveux sont eux aussi d’un blanc pur, ils sont fin est plutôt long. Au toucher ils sont comparable a du coton, doux, léger, on ne résiste pas vraiment à l’envie de plonger sa main parmi eux afin de ce délecter d’une telle douceur.

Pour finir le reste de son corps, Céles doit mesurer dans les un mètre soixante-dix, je n’en suis pas sur… Sa poitrine elle est assez présente, c’est parfois une gêne pour la demoiselle, qui ce serais bien passé d’en avoir une aussi grande. Son hybridation lui apporte beaucoup de chose positive, comme son poids. Oui elle est légère comme une plume, elle ne souffre pas de « surplus », sa taille de mannequin pourra en témoigner.
Pour ce qui est du style vestimentaire de la demoiselle. Elle porte le plus souvent des robes, des shorts, des maillots de bain, enfin, elle ne dit pas non à un simple T-shirt trop grand pour rester à trainer à la maison ou faire du jardinage. Elle reste coquette malgré tout, bien qu’elle aime rester au naturelle.

III. L'HISTOIRE.

Ce récit commence dans une forêt, la forêt sacrée de la petite île de Sanctuary, c’est là que se passe ce doux événement. Dans l’amour le plus sincère, née une petite fille à la peau pâle. Nous sommes au plein cœur du mois de novembre, le treize pour être exacte. La neige tombe du ciel dans sa légèreté la plus pur. Flottant doucement porter par la douce brise, avant de se laisser descendre vers le sol, pour finir son chemin, recouvrant doucement la végétation qui, depuis quelques jours, est entrée dans son repos végétatif. Au fond du temple, on accueil ce petit flocon, la peau pâle, on reconnaît bien celle de sa maman, les yeux bien ouvert sur le monde qui l’entoure. Porter jusqu’au petit berceau, où on l’a déposé avec le plus grand des soins, chacun chuchote doucement, des rires ce fait entendre, puis quatre coup de bâton sur le sol ce fait entendre. Plus un bruit, chacun respecte la cérémonie de naissance avec attention.  L’ancien dépose sur son front de la jeune demoiselle un pétale de cerisier, gardé précieusement pour célébrer les naissances en hiver. Bien sûr, la cérémonie ne se passe pas le jour de sa naissance, on attend toujours quelques jours après sa naissance, afin de laisser l’enfant découvrir le monde qu’il l’entoure. Elle est là, louchant sur ce qu’on vient déposer sur son front. Pour l’occasion elle est vêtue de son habit de couleur vert. Ses parents sont là, à ses côtés, priant en même temps que le reste de la tribu.

C’est alors que l’ancien verse doucement l’eau pure sortant de la montagne, récolter avec soin, juste avant la cérémonie. Aujourd’hui c’est le seul enfant qu’on célèbre. L’eau froide touchant la peau encore chaude du nourrisson la fait pleurer doucement. Vite rassurée par un baiser donner par la sage-femme, puis dorloter dans les bras de sa maman.

C’était maintenant il y a bien dix ans de ça. Aujourd’hui Céles à bien grandit. Devenue un bout de femme prêt à porter le poids du monde sur ses frêle épaules. Ses parents lui ont donné tout l’amour qu’un enfant a besoin pour grandir. Bien que parfois strict, son père lui a appris la droiture, le sens de la politesse, le partage, et l’altruisme. Sa mère lui a donné un souffle de joie, de bonne humeur, de gentillesse. Entre ses deux géniteurs, la petite grandit alors avec l’idée d’un monde juste, où tout le monde a le droit à sa chance. Elle a appris que mentir c’est mal, que la violence ne résout rien et que la haine n’engendre que la haine. Nous avons là une petite fille de dix ans, plein de vie. Aidant comme elle peut ses parents, ses voisins.

Bien que les années s’écoulent, Céles sens une envie grandir en elle. Vivant dans un village où tout le monde semble heureux. Elle a envie d’explorer le monde, celui de l’autre côté du pont. Elle y va souvent au pont, marchant le long, ne dépassant jamais la petite cabane posé au milieu. Petite, ce pont n’était pas là, il s’est construit avec le temps. Elle l’a vue grandir, du moins devenir ce qu’il est aujourd’hui. Elle a vue beaucoup de ses pairs partir de l’autre côté, certain revenir, d’autre non. Ceux qui reviennent n’en parlent généralement pas. Mais alors, où vont-ils ? C’est une question qui l’a travail depuis un moment. Pour l’instant elle ne peut pas y allez, mais un jour…

Aujourd’hui Céles à 25 ans, elle n’a pas pu passer le pont depuis tout ce temps, sa maman étant mourante elle ne souhaiter pas se séparer d’elle. L’enterrement était douloureux, mais elle a gardé la tête haute, le cœur léger, le sourire sur le bord des lèvres. Maintenant indépendante, elle a fait sa demande pour passer de l’autre côté de l’île, patientant joyeusement qu’on lui trouve une personne compatible, pour visiter le monde des humains.

IV. DERRIÈRE L'ECRAN.